Au High Tech Campus d'Eindhoven, le chef du CDA, Henri Bontenbal, a plaidé discrètement en faveur de la stabilité, de la décence et de la confiance, présentant la politique comme une collaboration, et non comme un spectacle. Son discours anti-populiste, axé sur les pénuries de logement, la politique d'asile, la crise de l'azote et les investissements dans l'économie de l'avenir, résonne alors que les Pays-Bas se rendent aux urnes le 29 octobre. Les sondages placent le CDA à peu près à égalité pour la deuxième place avec environ 24 sièges, derrière le PVV de Geert Wilders à 31, positionnant Bontenbal comme un possible faiseur de rois. C'est un revirement par rapport à 2023, lorsque le CDA avait chuté à cinq sièges sous son leadership précoce.
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