Stellantis a averti de charges exceptionnelles au second semestre alors qu'elle navigue entre pressions politiques, économiques et réglementaires, tout en réaffirmant ses prévisions d'amélioration du chiffre d'affaires, des flux de trésorerie et du résultat d'exploitation. Le chiffre d'affaires net du troisième trimestre a augmenté de 13 % pour atteindre 37,2 milliards d'euros, dépassant le consensus, grâce à l'Amérique du Nord et à l'Europe. Les actions ont chuté jusqu'à 6 % avant de se négocier environ 5 % plus bas ; le titre est en baisse de plus de 25 % cette année. Le PDG Antonio Filosa a cité des changements stratégiques, y compris un investissement américain récemment annoncé de 13 milliards de dollars avec cinq nouveaux véhicules et plus de 5 000 emplois.
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