Le Pentagone impose des règles, les journalistes partent, mais le reportage se poursuit
Deux jours après que des dizaines de journalistes ont quitté leurs bureaux au Pentagone plutôt que d'accepter de nouvelles règles de couverture, leur reportage ne s'est pas arrêté. S'appuyant sur des sources, les médias ont détaillé les frappes américaines sur des bateaux des Caraïbes soupçonnés de trafic de drogue ; Reuters a été le premier à signaler une frappe avec des survivants, confirmée plus tard par le président Donald Trump, deux personnes ayant été placées en détention américaine. Le New York Times a révélé le départ soudain à la retraite de l'amiral Alvin Holsey, chef du Commandement Sud. Le Pentagone qualifie sa politique de « bon sens », alors que 15 signataires ont été signalés – aucun issu des médias traditionnels.
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