Face à l'indignation, les Forces de Soutien Rapide du Soudan ont déclaré avoir arrêté des combattants après avoir saisi El Fasher, dont un homme connu sous le nom d'Abu Lulu, vu dans des vidéos exécutant des personnes non armées. L'AFP a vérifié des images de lui tirant à bout portant et se tenant parmi des cadavres, et les FSR l'ont ensuite montré derrière les barreaux. Le Centre pour la Résilience de l'Information a identifié six combattants des FSR et confirmé des massacres de civils et de combattants. Le chef humanitaire de l'ONU, Tom Fletcher, a cité des rapports crédibles d'exécutions, de viols et de mutilations, tandis que l'International Rescue Committee a relayé les récits de survivants faisant état de corps sur les routes après la chute de la ville suite à un siège de 18 mois.
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